Accueil >> /compagnie Alexis Rousseau >> AYSTWAA?
aystwaa?
Théâtre de l'Opprimé - 16 mars 2017 / 20H30 - RÉSERVER
Théâtre de la Bastille - 5 juillet 2016 / 20h30
Théâtre de l'Opprimé - 5 juin 2016 / 20h30
Le Songe d’Une Nuit d’Été de W. Shakespeare est loin d’être joyeux : il nous offre plutôt des visions dures, étranges, parfois d’horreur. De ce songe la création n’en raconte pas la fable, mais en a plutôt été nourrie, inspirée pour faire naitre un spectacle à la croisée du théâtre, de la performance, de la danse et de l’art vidéo.
Il ne reste donc plus que des traces, des créatures, des fantômes de ce songe où des restes de vie tentent désespérément de persister, en vain… Un Puck qui agonise et se retrouve seul, une lente descente vers le néant. Est-ce que ce qui semble être un rêve n’est finalement pas une sorte de miroir de ce qui se déroule désormais chaque jour devant nos yeux, et est-ce qu’un espoir reste encore possible ? Est-ce que tout cela ne contiendrait pas qu’un songe ? Est-ce que tout ne ne serait pas qu’illusion ?
À travers différents tableaux où le passé, le présent et le futur se confondent, où les morts et les vivants cohabitent pour finalement nous offrir une opposition entre le trop plein et le vide, la vie et la mort, l’accumulation et l’absence, le bruit et le silence, la matière vivante et l’inanimé, le spectateur se laisse lentement entrainer dans une expérience où rêve et réalité s’inversent et s’étreignent violemment.
Aussi l’Épilogue s’inscrit-il dans la continuité et en marge du spectacle. Il dérive vers la mémoire, le symbole religieux et la réalité du présent de la situation et glisse lentement vers le deuxième volet du triptyque CRYPTICUS ESPERANTO.
Théâtre de la Bastille - 5 juillet 2016 / 20h30
Théâtre de l'Opprimé - 5 juin 2016 / 20h30
Le Songe d’Une Nuit d’Été de W. Shakespeare est loin d’être joyeux : il nous offre plutôt des visions dures, étranges, parfois d’horreur. De ce songe la création n’en raconte pas la fable, mais en a plutôt été nourrie, inspirée pour faire naitre un spectacle à la croisée du théâtre, de la performance, de la danse et de l’art vidéo.
Il ne reste donc plus que des traces, des créatures, des fantômes de ce songe où des restes de vie tentent désespérément de persister, en vain… Un Puck qui agonise et se retrouve seul, une lente descente vers le néant. Est-ce que ce qui semble être un rêve n’est finalement pas une sorte de miroir de ce qui se déroule désormais chaque jour devant nos yeux, et est-ce qu’un espoir reste encore possible ? Est-ce que tout cela ne contiendrait pas qu’un songe ? Est-ce que tout ne ne serait pas qu’illusion ?
À travers différents tableaux où le passé, le présent et le futur se confondent, où les morts et les vivants cohabitent pour finalement nous offrir une opposition entre le trop plein et le vide, la vie et la mort, l’accumulation et l’absence, le bruit et le silence, la matière vivante et l’inanimé, le spectateur se laisse lentement entrainer dans une expérience où rêve et réalité s’inversent et s’étreignent violemment.
Aussi l’Épilogue s’inscrit-il dans la continuité et en marge du spectacle. Il dérive vers la mémoire, le symbole religieux et la réalité du présent de la situation et glisse lentement vers le deuxième volet du triptyque CRYPTICUS ESPERANTO.
conception & création scénique : Alexis Rousseau dramaturgie : Laurence Poirier assistant à la mise en scène : Florian Wester création lumière : Édouard Brun avec : Salomé Elhadad Ramon, Gaël Sall ou Guillaume Blanchard, Léandre Larmet Maxime-Lior Windisch, Rosalyn Jones, Justine Cazin & Laura Fanouillet |
|
STILL LIFE EXPERIMENT / COMPAGNIE ALEXIS ROUSSEAU - ASSOCIATION LOI 1901 - SIÈGE SOCIAL 19, RUE DES COLONIES 72100 LE MANS - [email protected] Powered by Hatis & STILL life experiment 2016